Taser et Police feront ils bon ménage ?
Le Taser, grand sujet de dispute...
Nous allons commencer par un article de loi daté du 22 septembre 2008.
Il complète le décret du 24 mars 2000 qui autorise les policiers municipaux à porter des revolvers de calibre 38 spécial ou des pistolets de calibre 7,65, armes de 4e catégorie.
Les 20.000 policiers municipaux que compte la France auront donc la possibilité d'utiliser le Taser.
A première vue, pas de problèmes... Mais que se passe-t-il ?
La police municipale est armée de calibre 38, arme de dissuasion par excellence.
La police ne l'utilise que très rarement en cas de légitime défense seulement.
Pourquoi donc un Taser, alors que la dissuasion se fait avec une arme létale à la ceinture ?
La police n'a plus besoin de dissuader qui que ce soit, elle a besoin de la possibilité de mettre la même "baffe" qu'un certain F. Bayrou a donné à un jeune.
Mais dans la version police : le Taser !
Le Taser a été efficace contre un manifestant qui désirait prendre la parole lors d'un meeting de M. Sarkosy à Saint-Malo. Une bonne décharge dans le dos et puis hop, on embarque discrètement...
Mais le Taser est encore plus efficace quand on l'utilise pour se calmer les nerfs contre une adolescente, qu'on aurait préalablement bien assommé à coup de pied et quasi inconsciente à terre...
Le Taser est une bonne arme, quand elle est mise entre de bonnes mains et pour les bonnes raisons.
Elle est moins dangereuse qu'un 38 spécial et plus difficile à faire mentir à cause de sa caméra automatique embarquée (pour le X26 français seulement).
La police municipale doit absolument prendre cette nouvelle arme mise à disposition pour une arme de dissuasion et non pour une arme de répression, quand elle n'arrive plus à avoir le dernier mot ou quand elle se venge un petit peu...
Nous allons commencer par un article de loi daté du 22 septembre 2008.
Il complète le décret du 24 mars 2000 qui autorise les policiers municipaux à porter des revolvers de calibre 38 spécial ou des pistolets de calibre 7,65, armes de 4e catégorie.
Les 20.000 policiers municipaux que compte la France auront donc la possibilité d'utiliser le Taser.
A première vue, pas de problèmes... Mais que se passe-t-il ?
La police municipale est armée de calibre 38, arme de dissuasion par excellence.
La police ne l'utilise que très rarement en cas de légitime défense seulement.
Pourquoi donc un Taser, alors que la dissuasion se fait avec une arme létale à la ceinture ?
La police n'a plus besoin de dissuader qui que ce soit, elle a besoin de la possibilité de mettre la même "baffe" qu'un certain F. Bayrou a donné à un jeune.
Mais dans la version police : le Taser !
Le Taser a été efficace contre un manifestant qui désirait prendre la parole lors d'un meeting de M. Sarkosy à Saint-Malo. Une bonne décharge dans le dos et puis hop, on embarque discrètement...
Mais le Taser est encore plus efficace quand on l'utilise pour se calmer les nerfs contre une adolescente, qu'on aurait préalablement bien assommé à coup de pied et quasi inconsciente à terre...
Le Taser est une bonne arme, quand elle est mise entre de bonnes mains et pour les bonnes raisons.
Elle est moins dangereuse qu'un 38 spécial et plus difficile à faire mentir à cause de sa caméra automatique embarquée (pour le X26 français seulement).
La police municipale doit absolument prendre cette nouvelle arme mise à disposition pour une arme de dissuasion et non pour une arme de répression, quand elle n'arrive plus à avoir le dernier mot ou quand elle se venge un petit peu...